Parla suite, le roman est rythmé par les trois jeudis chez Sandoz (chapitres III-VII- XI) et par les Salons qui sont annuels, en particulier le Salon officiel de 1876. Mais il est assez difficile de suivre l'écoulement des années. Un autre repÚre est donné par l'ùge de Jacques. Né en février 1864, il décÚde à douze ans, donc en 1876. Par conséquent le roman se
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Chapitre 6 VI De mĂȘme que pour venir aux Batignolles, nous prĂźmes un fiacre pour nous rendre Ă la prĂ©fecture de police. La prĂ©occupation de monsieur MĂ©chinet Ă©tait grande ses doigts ne cessaient de voyager de sa tabatiĂšre vide Ă son nez, et je l'entendais grommeler entre ses dents â J'en aurai le cĆur net ! Il faut que j'en aie le cĆur net. Puis il sortait de sa poche le bouchon que je lui avais remis, il le tournait et le retournait avec des mines de singe Ă©pluchant une noix et murmurait â C'est une piĂšce Ă conviction, cependant⊠il doit y avoir un parti Ă tirer de cette cire verte⊠Moi, enfoncĂ© dans mon coin, je ne soufflais mot. AssurĂ©ment ma situation Ă©tait des plus bizarres, mais je n'y songeais pas. Tout ce que j'avais d'intelligence Ă©tait absorbĂ© par cette affaire ; j'en ruminais dans mon esprit les Ă©lĂ©ments divers et contradictoires, et je m'Ă©puisais Ă pĂ©nĂ©trer le secret du drame que je pressentais. Lorsque notre voiture s'arrĂȘta, il faisait nuit noire. Le quai des OrfĂšvres Ă©tait dĂ©sert et silencieux pas un bruit, pas un passant. Les rares boutiques des environs Ă©taient fermĂ©es. Toute la vie du quartier s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©e dans le petit restaurant qui fait presque le coin de la rue de JĂ©rusalem, et sur les rideaux rouges de la devanture se dessinait l'ombre des consommateurs. â Vous laissera-t-on arriver jusqu'au prĂ©venu ? demandai-je Ă monsieur MĂ©chinet. â AssurĂ©ment, me rĂ©pondit-il. Ne suis-je pas chargĂ© de suivre l'affaire⊠Ne faut-il pas que selon les nĂ©cessitĂ©s imprĂ©vues de l'enquĂȘte, je puisse, Ă toute heure de jour et de nuit, interroger le dĂ©tenu !⊠Et d'un pas rapide, il s'engagea sous la voĂ»te, en me disant â Arrivez, arrivez, nous n'avons pas de temps Ă perdre. Il n'Ă©tait pas besoin qu'il m'encourageĂąt. J'allais Ă sa suite, agitĂ© d'indĂ©finissables Ă©motions et tout frĂ©missant d'une vague curiositĂ©. C'Ă©tait la premiĂšre fois que je franchissais le seuil de la prĂ©fecture de police, et Dieu sait quels Ă©taient alors mes prĂ©jugĂ©s. â LĂ , me disais-je, non sans un certain effroi, lĂ est le secret de Paris⊠J'Ă©tais si bien abĂźmĂ© dans mes rĂ©flexions, qu'oubliant de regarder Ă mes pieds, je faillis tomber. Le choc me ramena au sentiment de la situation. Nous longions alors un immense couloir aux murs humides et au pavĂ© raboteux. BientĂŽt mon compagnon entra dans une petite piĂšce oĂč deux hommes jouaient aux cartes pendant que trois ou quatre autres fumaient leur pipe, Ă©tendus sur un lit de camp. Il Ă©changea avec eux quelques paroles qui n'arrivĂšrent pas jusqu'Ă moi qui restais dehors, puis il ressortit et nous nous remĂźmes en marche. Ayant traversĂ© une cour et nous Ă©tant engagĂ©s dans un second couloir, nous ne tardĂąmes pas Ă arriver devant une grille de fer Ă pesants verrous et Ă serrure formidable. Sur un mot de monsieur MĂ©chinet, un surveillant nous l'ouvrit, cette grille ; nous laissĂąmes Ă droite une vaste salle oĂč il me sembla voir des sergents de ville et des gardes de Paris, et enfin, nous gravĂźmes un escalier assez roide. Au haut de cet escalier, Ă l'entrĂ©e d'un Ă©troit corridor percĂ© de quantitĂ© de petites portes, Ă©tait assis un gros homme Ă face joviale, qui certes n'avait rien du classique geĂŽlier. DĂšs qu'il aperçut mon compagnon â Eh ! c'est monsieur MĂ©chinet ! s'Ă©cria-t-il⊠Ma foi ! je vous attendais⊠Gageons que vous venez pour l'assassin du petit vieux des Batignolles. â PrĂ©cisĂ©ment. Y a-t-il du nouveau ? â Non. â Cependant le juge d'instruction doit ĂȘtre venu. â Il sort d'ici. â Eh bien ?⊠â Il n'est pas restĂ© trois minutes avec l'accusĂ©, et en le quittant il avait l'air trĂšs satisfait. Au bas de l'escalier, il a rencontrĂ© monsieur le directeur, et il lui a dit C'est une affaire dans le sac ; l'assassin n'a mĂȘme pas essayĂ© de nier⊠» Monsieur MĂ©chinet eut un bond de trois pieds, mais le gardien ne le remarqua pas, car il reprit â Du reste, ça ne m'a pas surpris⊠Rien qu'en voyant le particulier, quand on me l'a amenĂ©, j'ai dit En voilĂ un qui ne saura pas se tenir. â Et que fait-il maintenant ? â Il geint⊠On m'a recommandĂ© de le surveiller, de peur qu'il ne se suicide, et comme de juste, je le surveille⊠mais c'est bien inutile⊠C'est encore un de ces gaillards qui tiennent plus Ă leur peau qu'Ă celle des autres⊠â Allons le voir, interrompit monsieur MĂ©chinet, et surtout pas de bruit⊠Tous trois, aussitĂŽt, sur la pointe des pieds, nous nous avançùmes jusqu'Ă une porte de chĂȘne plein, percĂ©e Ă hauteur d'homme d'un guichet grillĂ©. Par ce guichet, on voyait tout ce qui se passait dans la cellule, Ă©clairĂ©e par un chĂ©tif bec de gaz. Le gardien donna d'abord un coup d'Ćil, monsieur MĂ©chinet regarda ensuite, puis vint mon tour⊠Sur une Ă©troite couchette de fer recouverte d'une couverture de laine grise Ă bandes jaunes, j'aperçus un homme couchĂ© Ă plat ventre, la tĂȘte cachĂ©e entre ses bras Ă demi repliĂ©s. Il pleurait le bruit sourd de ses sanglots arrivait jusqu'Ă moi, et par instants un tressaillement convulsif le secouait de la tĂȘte aux pieds. â Ouvrez-nous, maintenant, commanda monsieur MĂ©chinet au gardien. Il obĂ©it et nous entrĂąmes. Au grincement de la clef, le prisonnier s'Ă©tait soulevĂ© et assis sur son grabat, les jambes et les bras pendants, la tĂȘte inclinĂ©e sur la poitrine, il nous regardait d'un air hĂ©bĂ©tĂ©. C'Ă©tait un homme de trente-cinq Ă trente-huit ans, d'une taille un peu au-dessus de la moyenne, mais robuste, avec un cou apoplectique enfoncĂ© entre de larges Ă©paules. Il Ă©tait laid ; la petite vĂ©role l'avait dĂ©figurĂ©, et son long nez droit et son front fuyant lui donnaient quelque chose de la physionomie stupide du mouton. Cependant, ses yeux bleus Ă©taient trĂšs beaux, et il avait les dents d'une remarquable blancheur⊠â Eh bien ! monsieur Monistrol, commença monsieur MĂ©chinet, nous nous dĂ©solons donc ! Et l'infortunĂ© ne rĂ©pondant pas â Je conviens, poursuivit-il, que la situation n'est pas gaie⊠Cependant, si j'Ă©tais Ă votre place, je voudrais prouver que je suis un homme. Je me ferais une raison, et je tĂącherais de dĂ©montrer mon innocence. â Je ne suis pas innocent. Cette fois, il n'y avait ni Ă Ă©quivoquer ni Ă suspecter l'intelligence d'un agent, c'Ă©tait de la bouche mĂȘme du prĂ©venu que nous recueillions le terrible aveu. â Quoi ! s'exclama monsieur MĂ©chinet, c'est vous qui⊠L'homme s'Ă©tait redressĂ© sur ses jambes titubantes, l'Ćil injectĂ©, la bouche Ă©cumante, en proie Ă un vĂ©ritable accĂšs de rage. â Oui, c'est moi, interrompit-il, moi seul. Combien de fois faudra-t-il donc que je le rĂ©pĂšte ?⊠DĂ©jĂ , tout Ă l'heure, un juge est venu, j'ai tout avouĂ© et signĂ© mes aveux⊠Que demandez-vous de plus ? Allez, je sais ce qui m'attend, et je n'ai pas peur⊠J'ai tuĂ©, je dois ĂȘtre tuĂ© !⊠Coupez-moi donc le cou, le plus tĂŽt sera le mieux⊠Un peu Ă©tourdi d'abord, monsieur MĂ©chinet s'Ă©tait vite remis. â Un instant, que diable ! dit-il ; on ne coupe pas le cou aux gens comme cela⊠D'abord, il faut qu'ils prouvent qu'ils sont coupables⊠Puis, la justice comprend certains Ă©garements, certaines fatalitĂ©s, si vous voulez, et c'est mĂȘme pour cela qu'elle a inventĂ© les circonstances attĂ©nuantes. Un gĂ©missement inarticulĂ© fut la seule rĂ©ponse de Monistrol, et monsieur MĂ©chinet continua â Vous lui en vouliez donc terriblement Ă votre oncle ? â Oh ! non ! â Alors, pourquoi ?⊠â Pour hĂ©riter. Mes affaires Ă©taient mauvaises, allez aux informations⊠J'avais besoin d'argent, mon oncle, qui Ă©tait trĂšs riche, m'en refusait⊠â Je comprends, vous espĂ©riez Ă©chapper Ă la justice⊠â Je l'espĂ©rais. Jusqu'alors, je m'Ă©tais Ă©tonnĂ© de la façon dont monsieur MĂ©chinet conduisait ce rapide interrogatoire, mais maintenant je me l'expliquais⊠Je devinais la suite, je voyais quel piĂšge il allait tendre au prĂ©venu. â Autre chose, reprit-il brusquement ; oĂč avez-vous achetĂ© le revolver qui vous a servi Ă commettre le meurtre ? Nulle surprise ne parut sur le visage de Monistrol. â Je l'avais en ma possession depuis longtemps, rĂ©pondit-il. â Qu'en avez-vous fait aprĂšs le crime ? â Je l'ai jetĂ© sur le boulevard extĂ©rieur. â C'est bien, prononça gravement monsieur MĂ©chinet, on fera des recherches et on le retrouvera certainement. Et aprĂšs un moment de silence â Ce que je ne m'explique pas, ajouta-t-il, c'est que vous vous soyez fait suivre de votre chien⊠â Quoi ! comment !⊠mon chien⊠â Oui, Pluton⊠la concierge l'a reconnu⊠Les poings de Monistrol se crispĂšrent, il ouvrit la bouche pour rĂ©pondre, mais une rĂ©flexion soudaine traversant son esprit, il se rejeta sur son lit en disant d'un accent d'inĂ©branlable rĂ©solution â C'est assez me torturer, vous ne m'arracherez plus un mot⊠Il Ă©tait clair qu'Ă insister on perdrait sa peine. Nous nous retirĂąmes donc, et une fois dehors, sur le quai, saisissant le bras de monsieur MĂ©chinet â Vous l'avez entendu, lui dis-je, ce malheureux ne sait seulement pas de quelle façon a pĂ©ri son oncle⊠Est-il possible encore de douter de son innocence !⊠Mais c'Ă©tait un terrible sceptique, que ce vieux policier. â Qui sait !⊠rĂ©pondit-il⊠j'ai vu de fameux comĂ©diens en ma vie⊠Mais en voici assez pour aujourd'hui⊠ce soir, je vous emmĂšne manger ma soupe⊠Demain, il fera jour et nous verronsâŠ
ĂParis, dans le quartier des Batignolles, on dĂ©couvre un petit vieux assassinĂ© chez lui. Des lettres tracĂ©es dans son sang dĂ©signent le meurtrier. Mais MĂ©chinet en a vu d'autres ! AssistĂ© de Godeuil, un jeune Ă©tudiant en mĂ©decine, le policier Ă©met quelques rĂ©serves sur cette culpabilitĂ© toute trouvĂ©e Commence alors une palpitante enquĂȘte pour rĂ©futerDans un appartement parisien, on retrouve un vieil homme Ă©gorgĂ©, gisant sur le parquet. Peu d'indices si ce n'est ces lettres que, au seuil de la mort,... Lire la suite 6,30 ⏠Poche En stock 3,90 ⏠Actuellement indisponible 7,00 ⏠Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 1,99 ⏠TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 2,99 ⏠TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 3,49 ⏠TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 3,49 ⏠TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 0,00 ⏠Grand format ExpĂ©diĂ© sous 2 Ă 4 semaines 18,40 ⏠Actuellement indisponible 10,67 ⏠Actuellement indisponible Dans un appartement parisien, on retrouve un vieil homme Ă©gorgĂ©, gisant sur le parquet. Peu d'indices si ce n'est ces lettres que, au seuil de la mort, il a rĂ©ussi Ă tracer avec son sang. Ces lettres forment le dĂ©but d'un nom Monis... Ne dĂ©signeraient-elles pas Monistrol, le neveu de la victime, comme coupable ? A-t-il un alibi, un mobile, une ligne de dĂ©fense ? Le commissaire MĂ©chinet, aidĂ© par un jeune " officier de santĂ© ", mĂšne l'enquĂȘte. DĂ©couvrirez-vous la vĂ©ritĂ© avant eux ? L'accompagnement pĂ©dagogique s'attache Ă montrer les invariants d'un genre nouveau Ă l'Ă©poque d'Emile Gaboriau le roman policier. Des pages tirĂ©es d'Ćuvres de Georges Simenon ou d'Alexandre Dumas permettent des travaux de lecture et d'Ă©criture divers. Ce court roman, d'abord paru sous forme de feuilleton, est d'une lecture aisĂ©e. Ce roman policier XIXe est recommandĂ© Ă partir de la classe de quatriĂšme. Date de parution 11/09/2001 Editeur Collection ISBN 2-07-076252-1 EAN 9782070762521 Format Poche PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 171 pages Poids Kg Dimensions 12,5 cm Ă 18,0 cm Ă 0,9 cm Lecture accompagnĂ©e par Michel Besnier Roman policier XIXe siĂšcle recommandĂ© Ă partir de la classe de quatriĂšme. Texte intĂ©gral. LeComte de Monte-Cristo est un livre par Alexandre Dumas, sortie le 2001-01-17. Ce livre contient 514 feuilles et disponible en format PDF et e-Pub. Nous pouvons acquĂ©rir le fichier gratuitement. DĂ©couvrez plus d'informations ci-dessous . CaractĂ©ristiques Le Comte de Monte-Cristo. La ligne ci-dessous sont affichĂ©es des donnĂ©es gĂ©nĂ©rales du
Voyage au bout de la nuit de CĂ©line Personnages principaux Arthur Ganate Ferdinand Bardamu La mĂšre de Bardamu Princhard Mme HĂ©rote Robinson LĂ©on Lola Musyne Le sergent Branledore Roger Puta Jean Voireuse Le directeur de la compagnie PorduriĂšre Tandernot Lâhomme du carocaro » Le lieutenant Grappa Alcide M Mischief Molly BĂ©zin BĂ©bert La tente Ă BĂ©bert Parapine Le fils Henrouille La bru Henrouille La vieille Henrouille LâabbĂ© Prostite Madelon Baryton AimĂ©e Gustave Mandamour Sophie RĂ©sumĂ© par chapitres Chapitre 1 Voyager est la seule chose utile, cela fait travailler lâimagination. Chapitre 2 Il dit que sâil nâen avait pas besoin pour vivre, il supprimerait tout. Le voyage » est le pire des livres. Il va ĂȘtre huĂ©. Chapitre 3 Ferdinand et Arthur discutent de la vie, de la politique, de la guerre. Ferdinand sâengage, ça a lâair drĂŽle ? Quand il veut partir, ils sont enfermĂ©s comme des rats ». Chapitre 4 Câest la guerre. Il ne sait mĂȘme pas pourquoi ils se battent. Il dit que la guerre câest moche. Son colonel est tuĂ© par un obus devant lui. Il retourne au campement, personne ne sâinquiĂšte de cette mort. On se bat pour la nourriture. Chapitre 5 Un mois de guerre. Lâespoir sâen va petit Ă petit Les gradĂ©s ont des exigences quâon ne peut plus satisfaire au fur et Ă mesure de la guerre. Les villages et les forĂȘts sont brulĂ©s. Chapitre 6 Bardamu est envoyĂ© en Ă©claireur vers Noirceur voir si les Allemands y sont. Il rencontre Robin LĂ©on qui est rĂ©serviste et qui, pour sauver sa peau, veut ĂȘtre fait prisonnier. Le maire de Noirceur les fait dĂ©camper par peur des reprĂ©sailles allemandes. Tous ne cherchent quâĂ survivre. Chapitre 7 Rencontre avec Lola, il ne lâaime que pour le sexe, elle aime la guerre et lui ne comprend pas. Il Ă©tait blessĂ©, il avait peur dây retourner, il est devenu fou Ă cause de la peur. Chapitre 8 Bardamu est dans un lycĂ©e transformĂ© en hĂŽpital pour les soldats en attente. Il nây a que trois choix retourner au front, aller Ă lâasile ou mourir. Lola le quitte car il refuse la guerre, il est lĂąche. Rencontre avec Princhard qui est retournĂ© au front et a disparu ». Chapitre 9 Il est transfĂ©rĂ© dans un autre hĂŽpital. Musyne le fuit et finit par lâabandonner pour les riches. Il doit faire croire quâil est patriote et quâil retournerait bien au front sâil nâĂ©tait pas malade. Le docteur Bestombes pense quâil est sur la voie de la guĂ©rison. Il ne lui reste que sa mĂšre. Chapitre 10 Leur hĂ©roĂŻsme falsifiĂ© est fĂȘtĂ©. Il est le hĂ©ros » de vers rĂ©citĂ© Ă la ComĂ©die Française. Branledore lui ravit les honneurs. Le poĂšte aimerait jouer avec Bardamu. Celui-ci sâen va et rentre seul. Chapitre 11 retrouvailles avec un ancien collĂšgue de travail Jean Voireuse. Ils veulent retourner chez leur ancien employeur qui les congĂ©die gentiment. Voireuse a un plan, qui ne marche pas, pour faire de lâargent. Bardamu retrouve Robinson. Chapitre 12 Il sâembarque pour lâAfrique. Il est vu comme lâennemi public n°1, car il a payĂ© son voyage, par les militaires coloniaux. Il Ă©vite la bagarre » en jouant la carte du patriotisme avec le capitaine FrĂ©mizon. Il sâenfuit Ă la premiĂšre escale. Chapitre 13 La vie Ă la colonie est dure. Il ne rĂȘve que de repartir mais il lui faut dâabord travailler. Il sâest fait quelques amis. Chapitre 14 La vie Ă Togo est affreuse. Le lieutenant Grappa nâaime as rĂ©flĂ©chir mĂȘme pour rendre la justice le jeudi. Alcide est un homme qui fait du commerce illĂ©gal pour entretenir sa niĂšce qui vit en France. Bardamu va bientĂŽt partir pour son magasin » Chapitre 15 Lâhomme quâil remplace câest Robinson, il en a peur. Il sâinquiĂšte dâabord des affaires de la compagnie puis fait tout bruler pour partir loin. Faire confiance aux hommes, câest dĂ©jĂ se faire tuer un peu. » Chapitre 16 TraversĂ©e de la foret, arrivĂ©e Ă San Tapeta dans un sale Ă©tat. Il est vendu Ă une galĂšre comme rameur. Lâair de la mer lui fait du bien malgrĂ© une lĂ©gĂšre folie. OĂč sont-ils arrivĂ©s ? Chapitre 17 Ils sont en AmĂ©rique. Il fuit la galĂšre et commence Ă travailler au port pour enlever les puces des immigrants. Il a une promotion et entre pour la premiĂšre fois dans New-York. Il ne voit que les pauvres. Chapitre 18 Il est perdu dans New-York, il est entrainĂ© malgrĂ© lui dans un grand hĂŽtel oĂč il rĂ©serve une chambre pour la nuit. Il nâarrive pas dormir alors il va au cinĂ©ma et arrive Ă sâendormir en rentrant car ses rĂȘves comblent sa solitude. Chapitre 19 Il sâennuie toujours. Il veut un peu de plaisir avec une serveuse mais on le jette dehors. Il dit que les hommes sâen foutent du sort des autres. Il aimerait retrouver Lola pour avoir de lâargent. Il espĂšre aussi retrouver Robinson. Chapitre 20 Il retrouve Lola qui est riche, il arrive Ă lui soutirer 100 dollars. Cela le remotive. Il part pour DĂ©troit afin de trouver du travail. Chapitre 21 Il travaille chez Ford oĂč on lui dit quâil ne doit as rĂ©flĂ©chir car on le fait pour lui. Rencontre avec Molly, femme sincĂšre quâil regrette dâavoir quittĂ©e. Il revoit Robinson. Il continue Ă fuir, il retourne en France. Chapitre 22 Bardamu a fini ses Ă©tudes, il est mĂ©decin. Il est installĂ© dans un petit village. Tout le monde profite de sa gentillesse pour ne pas payer. MĂȘme lĂ , il ne peut pas penser câest trop dĂ©primant. Chapitre 23 Les Henrouille lui racontent leur pitoyable histoire. Ils espĂšrent quâil fera interner la vieille mais celle-ci se dĂ©fend et fait fuir Bardamu. Il nâaura pas les 1000 francs. Chapitre 24 Il est appelĂ© pour une fille qui en est Ă son troisiĂšme avortement. Elle saigne Ă©normĂ©ment mais il ne fait rien, la mĂšre ne veut pas de scandale. Il a honte de demander ses honoraires, il a lâimpression de voler les pauvres. Il ne rĂ©agit plus Ă rien mĂȘme quand il entend que la voisine se fait battre. Chapitre 25 Robinson est de retour. Pourquoi cela lâa-tâil autant bouleversĂ© ? Il fait scandale dans une famille oĂč il est pour un bĂ©bĂ©. Pourquoi dit-il ne pas pouvoir quitter Rancy ? Chapitre 26 BĂ©bert est trĂšs malade. Bardamu a tout tentĂ© sans succĂšs. Il va voir un spĂ©cialiste qui, Ă part lui raconter sa vie, ne lâaide pas. Chapitre 27 Il ne veut pas rentrer car il nâa pas de solution pour BĂ©bert. Episode de la lecture de Montaigne et de la torture du cochon. Retour chez lui. Il ne sait pas comment va BĂ©bert et se demande que faire. Chapitre 28 Mort de BĂ©bert. Robinson est de retour dans les parages. Bardamu ne soigne personne. La vieille Henrouille se met Ă sortir. Robinson a prĂ©parĂ© un sale coup pour tuer la vieille afin de toucher les sous des enfants. Chapitre 29 Câest la fĂȘte, souvenir de lâĂ©poque Lola ». Il soigne SĂ©verine. Il est tard. Robinson nâa toujours pas abandonnĂ© son plan. Chapitre 30 Bardamu est appelĂ© chez les Henrouille. Le piĂšge sâest retournĂ© contre Robinson. La vieille a survĂ©cu et nâa vraiment pas lâintention de mourir ni mĂȘme de laisser faire sa bru. Chapitre 31 Les gens commencent Ă jaser. Robinson est dans un sale Ă©tat. Il va ĂȘtre aveugle ? Evocation de souvenirs. Ils ont peur dâĂȘtre dĂ©noncĂ©s par les voisins. Chapitre 32 Bardamu a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© comme mĂ©decin dâun dispensaire de tuberculeux. Ăa lui fait de lâargent. Tout le monde le dĂ©nigre malades comme confrĂšres. Il a la visite dâun abbĂ©. Que lui veut-il ? Chapitre 33 Le prĂȘtre est embarquĂ© dans la mĂȘme galĂšre que lui Ă propos de Robinson et des Henrouille. Ils ont une solution. Ils veulent envoyer la vieille et Robinson dans le midi. Câest Ă Bardamu de convaincre Robinson. Il reçoit 200 francs dâacompte. Chapitre 34 Il quitte Rancy sans rien dire Ă personne. Il suit la route des lĂ©gumes ». Il retrouve Parapine. Il est embauchĂ© dans une troupe pour le Tarapout » un cinĂ©ma. Chapitre 35 Rencontre avec une nouvelle femme. Sa vie est catastrophique. Philosophie de lâamour. Chapitre 36 Lâhistoire de Robinson le tracasse. Il ne sait pas ce qui lui est arrivĂ©. Il va chez les Henrouille pour avoir de ses nouvelles. Le vieux Henrouille est en train de mourir. Il se fĂąche avec la bru Ă propos dâun rĂątelier en or. Chapitre 37 LâabbĂ© Protiste lui donne sa part et lui donne des nouvelles de Robinson qui va se marier avec Madelon. Il se rend Ă Toulouse pour le voir. Episode de la constipation. Il fait lâamour avec Madelon, future femme de Robinson. Chapitre 38 La vie Ă Toulouse est agrĂ©able. La vieille Henrouille gagne bien » sa vie. Robinson rĂąle tout le temps. Bardamu doit rentrer, ses Ă©conomies sâĂ©puisent. Il donne des conseils Ă Madelon Ă propos de ses Ă©carts de fidĂ©litĂ© ». Chapitre 39 Madelon et Robinson le retiennent pour une derniĂšre semaine. Episode de la pĂ©niche dans laquelle ils Ă©taient invitĂ©s car les hĂŽtes Ă©taient 13 Ă table. Madelon convainc Robinson de ne plus voir Bardamu. Chapitre 40 Alors quâil fait ses valises, on lâappelle parce que la vieille Henrouille a eu un accident. A la place de sây rendre, il va prendre son train. Chapitre 41 Grace Ă Parapine, il travaille pour Baryton dans un asile. Baryton lâaime bien car il nâest pas contrariant par contre il croit que Parapine va devenir fou. Chapitre 42 PremiĂšre fois quâune situation finie bien pour Bardamu Baryton, aprĂšs de nombreux cours dâanglais, dĂ©cide de lui laisser la tĂȘte de lâasile. En effet, il veut vivre et part donc vers lâAngleterre. Chapitre 43 Robinson est de retour, sans Madelon quâil cherche Ă fuir. Baryton ne semble pas prĂšs de revenir. Bardamu se sent plus que jamais Ă©coutĂ© du monde, il commence Ă sâĂ©loigner de tout et de tous. Chapitre 44 Il sent le malheur arriver et en effet Madelon est de retour. Il la gifle. Chapitre 45 Il embauche Sophie comme infirmiĂšre. Il veut se rĂ©concilier avec Madelon et Robinson, ils sont de nouveau ensemble ? Il suit les conseils de Sophie. Les retrouvailles se feront lors de la fĂȘte des Batignolles. Chapitre 46 Dispute avec Madelon. Rien ne la calme. Robinson ne veut pas partir avec elle, elle ne supporte pas ce refus. Elle lui tire deux balles dans le ventre. Il meurt peu aprĂšs. Chapitre 47 Ils doivent faire un rapport sur la mort de Robinson. Bardamu espĂšre avoir la force de mourir comme son ami.8M3S. 11 332 53 145 296 172 214 149 206